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Popper

 

 

 feuillet 3

 

 

 

 

 

Notes sur le feuillet 3

 

 

 

 

 

Venons en à l'historicismequi est parmi toutes les partie de la philosophie de Popper la thèse de la plus célèbre, telle qu’elle a été exprimée dans son livre qui a été un best-seller à lafin de la 2° guerre mondialeet qui est malheureusement fort peu connu en France, « la société ouverte et ses ennemis »

 

 

 

 

 

L’historicisme il s’en explique très facilement pas besoin de chercher midi à14h.Cest le fait de donner un sens à l’histoire et le personnage principal qu’il prend pour cible est son quasi compatriote et presque contemporain Oscar Spengler, allemand et non autrichien, mais s’exprimant dans lui aussi en langue allemande. Oscar Spengler a titré son livre "le déclin de l'occident" (1).On ne peut exprimer plus clairement une aspiration à donner un sens dans l’histoire. C’est exactement comme dans la bible quand Moïsedonne l’ordre aux tribus d’Israël de tuer ceux qui ont adoré le veau d’or. Au-delà, lecatholicisme, incroyablement théologiquepuisque le sens de la vie est de finir au paradis, continue de développer l'historicisme ; Parmi les auteurs qui donnent un sens à l'histoire,il y a encore, Hegel, Marx pour lequel l’histoire suit le sens du progrès,et l’historien anglais Arnold Toynbee. (2)

 

 

 

 

 

Justement, l'écologieest libre de tout historicisme. Au moment de la guerre froide, le communisme d’une part et les nations alliéesde l’OTAN d’autre part donnaient un sens à l'histoireet la bloquait. La société étaitfermée. C’est comme un voile qui s’est déchiréavec les problèmesposés par l’exploitation industrielle de la terre, notre planète.La possibilité d’une société ouverte s’avance devant nous a moins que nous ne sachions pas éviter les manipulations de la vérité, les contre feu qu’elles allument comme une extrême droite autoritaire, ou comme une doctrine chrétienne anti-islamiste excitée par la reprise de l’Afghanistan par les talibans, ou encore comme une oligarchie des pays riches ,sur les pays pauvres.

 

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Bien sur Popper est devenu célèbrepour avoir dénoncéle sens de l’histoire revendiqué par les marxistes et par les bolchéviks qui avaient pris le pouvoir àla suite de la révolutionrusse. La critique du marxisme chez Popper n’est cependant jamais une critique de l’Union Sovietique. Il faut se rappelerde cela avant d'entreprendre les développements qui résultentde l'historicisme.

 

L’histoire, selon Popper, a étéorientée dans un sens par Marx, mais pas par l’URSS, ni par la Chine (RPC). Nous devons toujours nous rappeler que Popper écritdepuis la Nouvelle Zélande oùil est le témoinde l’extraordinaire puissance de l’Asie dont nous avons à juger de savoir si elle est ou non dans le sens de l’histoire. La révolutionde 1948 à Beijing a-t-ellerendu son sens à l'histoire ? Y compris au point de vue marxiste on répondraitnon en pensant que les massacres de cette révolution,ajoutée aux massacresprécédents du goulag russe, ne sont que non sens. Par contre au sens capitaliste, au sens du développementmondial de l’économie, la révolutionchinoise a provoqué dans l'économiedu monde un tsunami dont nous ne savons pas encore l’amplitude.

 

Dans un courrier qu’il envoie à sesadmirateurs russes, Karl Popper s’amuse de ce que les russesenfermés dans leur pays pendant deux générationsse représententle capitalisme comme l’enfer de Dante(3). C’est une sorte de fusion entre deux visions historicistes,celle de Marx et celle du christianisme. Or le capitalisme que s'imaginaitla Russie avant 1990 est un régime trèsefficace, qui a obtenu une répartitiondes richesses bien supérieure à ceque la planification réussissait à faire.Popper décédé en 1994, vit assez vieux, pour voir la Russie revenir en arrière.

 

Cette première expérience d’un « retour en arrière », n’est pas menaçante Elle pourrait tout au contraire nous servir à inverserle sens de l’histoire. Après tout, dansla physique de l'espace, est-cequ’on ne revient pas vers le passé, quand on cherche à explorerles planètes, le soleil et les galaxies. ? Il y a un trouble sur ce que Popper veut dire dans son adresse aux russe lorsqu’il s’amuse de leur idéefictive du capitalisme.

 

 

 

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Or avec l’efficacité est venu le pillage de la nature. Il n’y a là riende fictif. La proportion de ce pillage à lacharge de la Russie, qui avait cette vision si irréelle de l’enrichissement occidental, est assez grande. La Russie est touchée par la fonte du permafrost et par des émissions de méthane. Elle n’a rien préparé, rien prévu et ne respectepas non plus ses engagements antérieurs. De nouveau la conscience de l’évolution du monde doit faire face à lanationalisation d’un problèmemondial. L’empreinte écologique est calculée pour le monde entier par le global footprint network. Il est survenu le 29 juillet de cette année. Les pays réunis à Glasgowpar la convention des parties accepteront-ils enfin des inspections sur la réalisationde leurs efforts pour que le trend de l’empreinte écologiques’inverse ?

 

Popper écrit à sesadmirateurs russes : « what is important,however, is that ‘capitalism’ in the sense in which Marx used this term, neverexisted anywhere on the surface of our beautiful planet earth » . Ce qui est faux, à mesyeux, dans cette assertion, ce n’est ni le terme de « capitalisme », ni le nom de Marx. L’erreur est dans « beautiful planet » alors que d’un côtéou de l’autre de l’ancien rideau de fer la dégradation de la nature est devenu insupportable.

 

Ca aussi c’est de l’histoire et plutôtque de féliciterKarl Popper d’avoir stigmatisé l’historicisme il vaudrait mieux lui reprocher vertement de s'êtreapproché par la réflexionde cette possible inversion (a savoir que l’avenir est dans le passé), sans l’avoir approfondie.

 

Cependant on aurait tort de prendre le concept d’historicisme au pied de la lettre : comme un facteur objectif indépendantde l’observateur. Le premier historiciste est évidemmentPopper lui mêmequi a vu le nazisme enfler qui a anticipé l’ Anschluss, nom allemand pour désigner l’acte politique par lequel l’Allemagne a absorbée l’Autriche en 1938, et qui a pris la décision de quitter l’Europe. Pourquoi Popper parle t’il d’ historicisme ? Parce qu’il est profondément réactionnaire.Il aurait voulu que les choses sociales restent en dehors de l’histoire. C’est un conservateur trèsrationnel.

 

 

 

Il nous oblige à reprendreson livre à l'envers.On doit d'une part se sentir idéalisteau sens platonicien du terme, et d'autre part se sentirrationaliste. Cette équationest impossible. Selon les rationalistes, qui pour leur part sont eux trèsforts en France ou il existe depuis Descartes une union des rationalistes, ou bien on est est matérialiste ou bien on ne peut pas raisonner logiquement.

 

 

 

 

 

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Bien qu'il soit devenu un vieux réactionnaire,ce qui lui a permis d'intégrer l'université anglaise de Cambridge, jamais Popper n'a perdu sa passion de la pédagogie.Il était un disciple du pédagogueBuhler. Or à l'époquedans les années 20 en Autriche,l'empire austro hongrois ayant été détruit par la premièreguerre mondiale, tout le pays a été envahi par une passion pédagogique, àl'instar de la Russie qui s'était  engagée pour sa part en 1917-18, comme chacun se le rappelle, dans la révolution. Vous vous rendez bien compte que dans ces régions, avec l'aristocratie détruiteet chassée du pouvoir, les écolesont été confrontées à unemasse d'enfants incultes, àun immense devoir d'alphabétisation et de formation qui, au delà,ultérieurement  d'ailleurs, permis à laRussie de gagner la guerre contre les nazis. Cette passion pédagogiquese retrouve toujours dans le style de Popper qui conclutson livre sur la société ouverte par un tel plaidoyercontre l'histoire, et pour la science, qu'il n'y a pas grand chose d'autres à ajouterpour tenter de réorienterles COP au sein desquelles s'est évidemmentbien sur ,toujours l'histoire des nations, leur expérience particulièreen tant que nations, la modernité, et le progrèsqui s'exprimentdivisant l'opinion mondiale en autant de cas qu'il y avait 192 pays (je crois que c'est le nombre de signataires aux objectifsde Paris) de telle sorte que les engagements pris n'entraîneront aucune obligation. Dans la France qui est si fiere d'avoir été l'organisatrice de la COP 25, le nucléairea continué de prendre le pas sur toutes les autres sources d'énergies.On continue à nousmenacer de fascisme si nous n'en voulons pas, car il est bien démontré que le nucléaire soi-disant décarbonéne prend pas en compte le bilan total de son industrialisation.

 

 

 

Peut-être que l’analyse de Toynbee tout a la fin de la « societe ouverte » p 227 et suivante justifie monexposé de l’historicisme, c'est a dire sur le sens de l'histoire et sa possible inversion, car Popper a cette phrase splendide : « ….l’humanité ne parviendra jamais à placer les affaires mondiales sous le contrôle de la raison humaine ! »

 

 

 

L’historicisme nous ouvre vers le passé (2020 vers 1920) une périoded’un sièclepour réfléchiret force est de constater que les choses n’ont pas le mêmesens aujourd'hui qu'ellesavaient hier. Dans la direction du futur, l’humanité ne dispose plus du tout d’un s.

 

 

 

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Dommage que Karl Popper apres guerre devienne un vieux réactionnaire,ami de Hayek le chantre ultralibéralde l’économie de la richesse.

 

 

 

Au cours de cette période, la Chinechange à sontour énormément.Le débat sur l’historicisme crée par le livre de Popper a t’il encore lieu d’être ? Parfois on se dit «non », parce que Popper est dépassé, mais on se dit aussi « oui » parce que deux courants de l’histoire se croisent un qui continue d’aller de l’avant a la manièreoccidentale, dans un objectif de rattrapage comme disent les chinois, et l’autre qui va en arrièreparce que les ressources de la terre sont épuisées.

 

 

 

 

 

Je ne me sens pas capable de donner une forme généraleà ce phénomène du progrèsqui revient en arrière,ne connaissant rien en physique quantique. Par contre il me semble qu'en écologiecette conception serait trèsporteuse. D'une part, parce que le passé nous a légué touteune énormequantité de stock d'armes nucléaires qu'il faudra bien démonteret recycler un jour ou l'autre;D'autre part parce que l'exploitation de la nature est arrivée à unseuil tel de dégradationde son capital qu'il y a des mines qu'il faut fermer, des filières d'exploitation comme le charbon auxquelsil faut renoncer. C'est aussi vrai des engrais dont on a abusé dans l'agriculture .

 

 

 

Je trouve que chez Jean Baptiste Fressoz (4) il y a de bonnes analyses à cesujet parce qu'en remontant l'histoire de certainesbranches industriellesil se rapproche plus que les autres économistes de la façon dont on pourrait s'y prendre pour les démembrer.C'est le cas de la tradition de la soude dans la régionmarseillaise. Fressoz s'intéresseaussi à la6° extinction celle qui pourrait voir la disparition de l'homme sur la terre àl'instar de ce qui c'est produit au 2° millénaireavec les grands reptiles. La aussi c'est une perspective de retour en arrièreimpressionnante qui traversetous les délégués d'une COP qui doivent déciderquantitativement de la réductiondes gaz à effetde serre. 

 

 

 

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Un des butsde ces feuillets sur Popper est de conduire ces économistes à étudier"la logique de la recherche scientifique" pour rendre leurs expériences,(mais il serait plus juste de parler de modèles vérifiables et reproductibles). On se demande bien pourquoi ce qui est exigé de la science de la nature n’est pas exigé  de la « science économique. La science reproduit les expériences et fait des découvertes tandis que l’économie en est incapable et donc détruit tous les efforts des écologistes pour y parvenir. 

 

 

 

 

 

Il est à remarquerque Popper n’a pas été du tout hostile aux économistes. Il n’hésite pas à mettreen parallèlele terrain étroitement limitéaux laboratoire avec l’expérience, de façon à favoriser l’essor de la modélisation.Dans une conférencefaite a la Sorbonne en 1935 Karl Popper interpelle son auditoire : «  "nous voici désormais en position de théories E-testable....." E désigne ici la premièrelettre de "expérience" ou "empirisme" alors qu'aujourd'hui E signifierait "électronique". Ça nousfait réfléchir àl'outil de la modélisation et à sonextraordinaire perfectionnement (5).

 

 

 

Alors que la modélisationparvient à des résultats extraordinaires en matière de simulation,dans le domaine économique, elle aperdu sabase empirique. Dans le domaine qui nous intéresse,celui du réchauffementclimatique, les modèles économiquesmodernes sont célèbrespour leur absence d'empirisme parce qu'ils sortent des controverses universitairesau lieu de mesurerles pratiques  empiriquesde ceux dont ils étudientle comportement . Pourquoi en matière d'écologiela modélisationest elle toujours revenu en arrière(voir par exemple Copenhague en 2009 qui aurait déjà dûadopter les objectifs de Paris) alors qu'en physique on va au contraire d'extension en extension? Certainsdisent de la philosophie de Popper que c'est un physicalisme (6)à comprendre dans le sens, qu'en dehors du domaine physique, un systèmene serait pas e-testable. Pour moi qui intervient dans le débat aprèsavoir relu la "société ouverte" j'en jugerais autrement, à savoir que certains modèlesne se font pas, ou bien ne progressent pas parce qu'ils n'ont pas été conçus démocratiquement.

 

 

 

 

 

 

 

On peut illustrer ces problèmes de modélisation en servant du livre d’Alain Gras « le choix du feu ». C’est un sociologue qui dans une étudedu nucléaires’efforce de rester empirique en rattachant l’industrie nucléaire àla préférencehumaine pour le feu, étant donné que c’est le moyen qui a donné dans la préhistoire àl’humanité la possibilité de sortir de l'anonymatet d'entrerdans l’histoire. Alain Gras produit donc selon nos critèresune déconstructiond’une branche industrielle empirique ce qui est conforme à la premièrepartie du E de Popper.. Il devraiten résulterun modèlesocial testable qui produirait la même énergie en ignorant le « goût pour le feu », c'est-à- dire en utilisant le vent, le soleil, et l’hydrogène. Quoique Alain Gras soit favorable à cessources d'énergie,il n’a pas porté le coup fatal à l'industrie  nucléairepour laquelle le physicalisme, -àsavoir la théorieatomique, de Bohr, Curie, Fermi,etc…,  conserve plus de poids que la théoriesociologique du feu qui pourtant, a pris une extensiongigantesque en brulantnos forêtset en menaçantla paix.

 

 

 

 

 

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Les écologistesqui font des expériences de terrain n'ont pas le droit à la parole. Ils n'ont pas jamaiseu le droit de faire entrer leurs expériencesen matière d'énergiesrenouvelables dans les modèlesdes entreprises productrices d'énergiesfossiles telles que les sociétés pétrolières,ni dans les consortium d’état chargé de la gestion de l'électricitésur le modèlefrançais. Ainsi, EDF par exemple connait la consommation d'électricitéde la nation depuis 1945 qu’elle enferme dans des bureaux d'étudeou y sont considérés comme des traitres ceux qui ne sont pas X-_mine.

 

 

 

 

 

Bien que vous et moi, nous nous rendionsbien compte que les COP cherchent à atteindremaintenant une modélisation à l'échelle  mondiale.Chaque pays, chaque région géographiquedu monde est loin de contribuer comme elle le devrait. Bien au contraire chaquepays cherche à imposerson modèle nationaliste, tandis que le modèle international du GIEC fonctionne àpeine àtitre de référence. Les intérêtscharbonnier (ou peut êtrecharbonneux) des trois leaders anglo- saxons USA,GB et Australie vontdominer la conférencede Glasgow pour la plus grande satisfaction de la Russie (dans le fameux Dombass) et de la Chine qui ont besoin du charbon. De mème  les intérêts pétroliers ont déjà pris la tête de la prochaine COP 27 qui s’annonce au Caire . C'est quasiment impossible de faire travailler ensemble le monde occidental avec ses dépendanceset l’ancien monde communiste chinois et russe.

 

 

 

La confiance est distribuée par internet. Elle n'est plus verticale. Comment utiliser une technologiequi tend à détruire,à décentraliserpar la numérisationdes informations, ce qui avaitété centralisé soit par des années de colonialisme, soit par des dictatures ?

 

 

 

Ce parcours effectué sur internet pour exposer l’historicisme nous conduit de nouveau à la conclusion que l’information devrait être un bien public. A ce jour, à la veille de l’ouverture de la conférence de Glasgowtous les efforts d'appréhensiondu réchauffementclimatique peuvent être ruinés d’un coup par le fonctionnement parallèledu bitcoin ou se sont réfugiéstous les gains illégaux réalisés grâce àla drogue et à toutesles formesde contrebandes. Le bitcoin a ruiné la confiance dans le dollars. Il peut faire tomber le château de cartes construitpar l’ONU. Un château de cartes, les COP sans obligations de résultatset sans inspecteurs ne sont que châteauxde cartes.

 

 

 

Mélèze

 

(1) Le titre du livre n’est pas le meme en anglais « decline of the west » et en français « le declin du monde occidental ». On pourra lire le commentaire suivant : « Spengler cite Goethe qu’il connaît par cœur et survole avec maestria « ce qu’on regarde n’est pas ce qui se voit » (théorie des couleurs) (p 95). En effet les couleurs peintes par les artistes ne représentent ni la composition chimique ni les longueurs d’onde de la lumière. « Le déclin de l’Occident » se révèle être une passerelle entre Goethe qui de son côté répond à Newton et Werner Heisenberg qui utilise la même théorie des couleurs dans son introduction à la mécanique des quanta pour répondre à Einstein.

 

L’intérêt de cette présentation de l’affrontement entre idéalisme et matérialisme philosophique, c’est de montrer que la recherche scientifique tend à un retournement en faveur du matérialisme parce que l’humanité est confrontée au réchauffement climatique. La traduction anglaise donne une formule intéressante pour sortir du bon sens « becoming the become » qui est un peu l’équivalent du proverbe « tout ce qu’on regarde est en train de changer ». De même Goethe note aussi que « la métamorphose est la clé de tout l’alphabet de la nature » (p 100) Spengler arrive à l’idée de morphologie, ce que la vulgarisation scientifique nomme aujourd’hui le paradigme nature et culture. Est-ce que cela suffit à cerner la destinée humaine ? » in http://www.e-litterature.net/publier3/spip.php?article334

 

(2) cf; « the study of history » cité par Popper « la société ouverte et ses ennemis TII »

 

(3) voir : « a la recherche d’un monde meilleur:Essais et conférence » éditions les mille lettres de Jean Zylberstein.

 

(4) Fressoz voir : « payer pour polluer : l’industrie chimique et la compensation des dommages environnementaux de 1800-1850 » revue Histoire et Mesure 2013.

 

(5) Popper à Paris, intervention de septembre 1935 a la Sorbonne cité par Hacoben « Karl Popper the formative years «  Cambridge 2000

 

(6) Il faut se référer ici a la notion d’entropie. Rejetée universellement par les économistes dominants, qui prétendent que les ressources sont inépuisables les seuls a reconnaître l’entropie a savoir la nature limitée des ressources économiques sont les disciple du roumain Georgescu Roentgen. Ce débat est exposé au mieux par le savant belge Ilya Prigogine prix Nobel de 1977.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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