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- Catégorie : Réchauffement climatique
- Publié le jeudi 17 septembre 2015 14:43
- Écrit par Meleze
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Un nouveau rapport issu du Grantham Institute
prend une nouvelle orientation au sujet de la COP 21.
En effet il a l'initiative de reveler au public par avance a peu pres les chiffres qui ont fait l'objet d'un scandale scientifique au moment du sommet de Copenhague 6 ans en arriere.
L'idée est simple qu'une nouvelle fuite sur internet des calculs concernant le rechauffement climatique ne peut aider comme elle l'a fait precedemment les revisionniste (ou negateurs du rechauffement climatiue) a se rassembler sous la barriere du « c'est faux ».
Bien que pas completement publics et relativement difficile a lire comme vous pouvez en jugez vous memes ces chiffres ont le merite d'exister par anticipation à la négociation.
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By contrast, it can be seen from Figure 1 (page 10) that in order to be on a plausible 2°C pathway, emissions should be:
Around 35Gt CO2ein 2030;
20Gt CO2e or below in 2050
Roughly zero (or “net zero”), and possibly net-negative,before the end of the century
Cutting global emissions from around 50 Gt
CO2e to 20Gt or below in 2050 is a cut by a factor of 2.5. Suppose also that world output were to grow by a factor of three over the period 2013 to 2050
(given an annual growth rate of around 3%).
Under these assumptions, emissions per unit of output would have to be
cut by a factor of 2.5 × 3 (i.e., by a factor of around 7 or 8) by 2050
C'est a peu pres ce qu'en 2009 le professeur Jones de l'université de l'east anglia avait écrit dans ses mails. Il avait eté qualifié de menteur et le monde a perdu 6 ans dans sa course contre le rechauffement climatique. Ces chiffres pourront-ils etre deniés une 2° fois ? Avons nous raison de les mettre sur la place publique autrement que par le circuit d'information qui leur est imposé par le Grantham Institute ?
Oui ! Il y a une grande chance d'eviter le hacking.
Mais Ces chiffres ne sont pas complets.
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Les trois personnes qui sont à l'origine de ce calcul posent comme axiome que la somme des emissions de CO² declarée par les états est la somme des émissions du monde. Or nous savons que c'est faux puisque les émissions des nations ne traitent pas de la pollution mondiale a savoir qu'elles n'incluent ni la pollution de l'athmosphère par le transport aerien et par la conquete de l'espace, ni la pollution des mers dans la zone internationale, ni la pollution des fleuves qui irriguent plusieurs nations, ni les droits des peuples primitifs qui n'appartiennent pas aux espaces nationaux.Il faut ajouter un petit 4 a 5 % a tous les chiffres declarés qui ne nous conduisent pas 100 % en mais a 95 % en 2100.
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Il ne faudrait pas que la COP 21 à Paris unisse les nations pour qu'elle cessent de polluer tout en leur donnant l'autorisation de s'unir pour conquérir l'espace a n'importe quelle condition ce que les groupes mediateurs d'internet souhaitent étant donné qu'ils sont engagés dans des programmes massifs de couverture de la totalité de la planète par le wifi. La nation anglaise démontre avec ce rapport qu'elle a gardé une avance considérable dans le calul des effets de la mondialisation sur la pollution, mais elle fait preuve en meme temps d'une dérive coloniale.
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Il y a aussi une grande difference entre ces gens qui font des calculs economiques sous la direction de Nicholas Stern et la campagne du Guardian qui s'humilie aupres de Bill gates pour qu'il enleve son argent des fuels fossiles et qu'il le replace dans la transition energetique. Par ailleurs il y a l'émission du methane qui pourrait venir du degel de la Siberie et du secteur de l'elevage. Dans ce cas la lutte contre le rechauffement climatique a réveillé de nouveaux groupes de pression qui ne sont pas décidé du tout à réduire leur activité La relation entre la croissance demographique humaine et la croissance de l'elevage, si elle a été calculée reste secrete et c'est un nouveau problème pour la COP 21
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En dernier lieu on pourrait faire remarquer que les travaux de N.Stern ont subi une torsion depuis que les travaillistes sont partis et que l'économiste travaille désormais pour le gouvernement Tory de Cameron. La torsion c'est que nulle part dans la presentation de leurs objectifs (INDC) les nations ne remettent en cause l'inegalité sociale qui a fait pourtant l'objet d'un debat mondial au moment de la parution en 2014 du livre de Thomas Piketty. Il faut bien reconnaître depuis ce moment que la résistance au constat du rechauffement climatique vient des privilégiés qui ont augmenté leur richesse dans de telles proportions qu'ils craignent de tout perdre. La technique de la London School of economics qui consiste à montrer que les riches lutterons contre le rechauffement climatiques tout en conservant leurs avantages peut avoir du mal à convaincre.